Selon une étude réalisée par le site Egg Donation Friends, l'Espagne est de loin le pays de référence pour les patients internationaux qui choisissent de suivre un traitement de don d'ovules à l'étranger.

34% de ces femmes choisissent notre pays comme destination pour réaliser leur rêve d'être mère. Derrière l’Espagne se trouveraient l'Ukraine, avec 18 %, la République tchèque, avec 14 %, et Chypre, avec 11 %.

Les patientes qui ont recours au don d'ovocytes pour devenir mères le font généralement pour plusieurs raisons :

• La législation restrictive de leur pays d'origine pour accéder aux programmes de don d'ovules.
• La limite d'âge établie dans leur pays pour devenir mère par procréation assistée.
• L'anonymat des donneurs, garanti par la loi, qui existe dans des pays comme l'Espagne.
• Le taux de réussite plus élevé dans les pays de destination, grâce à l'amélioration des techniques.
• Des cliniques et des professionnels mieux préparés.
• L’existence de traitements non usuels dans les pays d'origine, comme la méthode ROPA.
• Coûts de traitement, généralement inférieurs, même s’il est vrai que dans cet aspect il existe une grande diversité de prix.

L'étude analyse également les pays préférés en fonction du lieu d'origine. Ainsi, nous constatons que l'Espagne prédomine parmi les patients du Royaume-Uni, d'Irlande, d'Italie, de France, des Pays-Bas ou de Belgique. Dans les pays scandinaves (Suède, Norvège, Finlande), en Pologne ou en Russie, il est plus courant de se rendre en Ukraine ou en République tchèque.

Chez iGin, cette tendance à la hausse des patients étrangers se fait également noter.

Pour cette raison, nous disposons d’un service de coordination internationale spécialement dédié aux patients du Royaume-Uni, d'Italie ou de France, par exemple.

N'hésitez pas à nous contacter pour réserver une consultation en ligne. Nous pourrons vous proposer un premier diagnostic de fertilité. Gratuitement et sans engagement. Vous pouvez le faire via ce lien ou en nous écrivant à international@institutoigin.com

NB: Ces données ont été collectées dans les années 2019 et 2020, l'étude souligne donc qu'elles ont pu être conditionnées par l'arrivée de la pandémie de Covid.